lundi 6 avril 2009

Les Géant du Site www.artistehaitien.blogspot.com
















Les Géant du Site http://www.artistehaitien.blogspot.com/
I - Georges Pierre Gousman
Avocat, Artiste, Comédien
Tel : (509) 3479-3162
Georgespgousman2006@yahoo.fr
# A-3 Rue Trois Frères Rigaud/ Cayes –Haïti
WWI


II – Laguerre Dieusel
Etudiant, Artiste, Comédien
Tel : (509) 3418-4360
tonvevenn@yahoo.fr
Misaine / Cayes – Haïti WWI

Participation de Ton Yoyo a une Festival a Torbeck











17 Mars Dernier Georges Pierre Gousman dit Ton yoyo François Déception a participé a une grande festival a Torbeck en prélude de la fête Saint Joseph de Torbeck. Voici les photos :

mardi 31 mars 2009

Biographie De Ton Yoyo Francois Deception
















Ton Yoyo François Déception un Artiste comédien évolue dans le théâtre Haïtien

Son vrai Nom Georges Pierre Gousman née le 26 Novembre 1978 a guièlleme première section de la commune de Torbeck. Il est né d’une famille très respectueuse de son Père Monsieur Georges Vilner et sa Mère Mme Vilner Georges dit Cadet Bernadette. Il a trois Sœurs et deux Frères. Georges Claudette, Claude, Micheline, Jeannina, Gousman, Benette, et Andy. Il fait ses études Primaire a l’Ecole Nationale de Colette, Etude secondaire Lycée Philippe Guerrier des Cayes, Etudes Universitaire : Université Public du Sud Aux Cayes (UPSAC) ou il a étudie les Sciences Juridique. D’autres études encore Electricité aux Centre Technique Dynamique HIFI, Comptabilité aux C.F.O.D.A.P des Cayes, Moniteurs de la National Democratie-Institue (NDI) dans les Elections 2006 en Haïti, Participations a plusieurs Séminaires de Formation : Informatique, Internet explorer, Rédaction d’un Projet , Création d’une Site Internet…..etc. Il est Journaliste. Il travail a la RTMS le 97.3 FM stéréo. Il évolue dans le théâtre comme comédien. Il a participe à un film « L’anmou Chocolat.


mercredi 18 mars 2009

Prorverbe Francais

1- " Tel qui rit vendredi, dimanche pleurera " -Seva Pierre Rony
2- " Qui vient juin prepare octobre"- Georges Pierre Gousman
3- " Rien ne sert de courrir, il faut partir a point" -Laguerre Dieuseul
4- " La critique est laisee mais l'art est difficile

Biographie de Nemours Jean Baptiste




DES PERSONNES ON ACCEDE NOTRE SITE ILLEGALEMENT. NOTRE SITE SERA OPERATIONEL TRES PROCHAINEMENT. MERCI DE VOTRE COMPREHENSION.




NEMOURS JEAN-BAPTISTE
2 Fevrier 1918 - 18 Mai, 1985

Troisième d’une famille de quatre enfants, Nemours Jean-Baptiste est né le 2 février 1918 à Port-au-Prince. Ses parents Lucia Labissière, couturière et Clément Jean-Baptiste, cordonnier ont décédé prématurément. Nemours et ses frères et soeur André, Monfort et Altagrace furent confiés à des proches parents. Il fit de brèves études à Jean Marie Guilloux et chez les Frères de Saint Louis de Gonzague et a dû faire très tôt aux affres de la vie occupant de menus emplois pour survenir à ses besoins. Devenu coiffeur, Nemours a pu trouver, sans nul doute, en ses clients et le salon de coiffure, l’auditoire et l’endroit idéal pour discuter de son amour et don pour la musique. Ce don a reçu par hasard sa première sponsorisation à travers un ami, Antoine Duverger. Joueur et propriétaire de banjo, Duverger a décidé de confier son instrument à Nemours pour éviter les réprimandes parentales : « l’enfant de famille » des années 50 ne faisait pas de la musique. Nemours en a profité pour apprendre tout seul le banjo. La chance lui a sourit lorsque Duverger n’a pas pu respecter un de ses engagements auprès des frères Guignard. Nemours l’a remplacé. La performance fut un succès et lui a rapporté $30.00 et son recrutement par les frères Guignard. De cette date, Nemours s’était adonné complètement à la musique; une carrière qui allait durer environ vingt-cinq ans. Au cours d’une de ses performances, il a rencontré Marie Félicité C. Olivier. Ils se sont mariés le 28 Septembre 1946 et eurent trois enfants Marie Denise qui a vécut jusqu’à l’âge de deux (2) ans, Yvrose et Yves Nemours Jr.

Les débuts de Nemours consistaient surtout de tournées à travers le pays animant les fêtes patronales. C’est d’ailleurs un jour de la Sainte Anne, le 26 juillet 1955, qu’il a créé le rythme qui allait devenir le compas et son propre groupe musical, Conjunto International avec pour Membres fondateurs Julien Paul, Monfort Jean-Baptiste, frère de Nemours, Anilus Cadet, Mozart et Krutzer Duroseau et pour une courte durée Webert Sicot qui sera remplacé par Frank Brignol. Mais, ce n’était pas son premier coup d’essai de maestro. Il a dirigé auparavant, des groupes de l’époque tels que Anacaona, Jazz Atomique, Jazz atomique Junior.

En 1956, la carrière de l’artiste devait prendre une nouvelle direction lorsqu’il rencontra son premier promoteur, Jean Lumarque, propriétaire d’un Club à la mode, « Calebasses ». Ce dernier organisa la première tournée à l’étranger de Nemours et son groupe les accompagnant aux États Unis d’Amérique et au Mexique. Cependant, peu de temps après, Nemours devait quitter Lumarque pour Senatus Lafleur, propriétaire d’un autre Club, « Palladium ». Pourtant, c’était encore Jean Lumarque qui, en 1961, emmena aux États-unis le groupe et le 5 juillet, au cours d’une cérémonie au siège des Nations Unies, Nemours a reçu une plaque d’honneur. Après un autre aller-retour du Palladium au Calebasses, Nemours et son groupe successivement nommé « Ensemble aux Calebasses » et « Ensemble Nemours Jean Baptiste » ont été embauchés par René Martini, propriétaire de « Cabane Choucoune » où ils ont joué de 1962 à 1970. Au cours de cette période, en 1963, l’artiste a participé à son premier défilé carnavalesque, sur demande du public. A noter qu’il souffrait de glaucome. En juillet 1967, les médecins d’un hôpital de Port-au-Paix ont dû lui enlever son œil (droit ou gauche) au cours d’une intervention chirurgicale.

Nemours a également séjourné deux ans (1970-1972) aux États Unis d’Amérique et performé dans des clubs tels que Château Caribe (Manhattan) et Canne-à-Sucre (Corona, Queens). De retour sur la terre natale en 1972, il a pris en charge un dernier groupe, le Top Compas, rebaptisé « Super Combo de Nemours Jean-Baptiste » et a été en tournée en Guadeloupe de mai à Décembre 1973. En mai 1974, un promoteur de la Guadeloupe, Hubert Romain leur fit faire une tournée passant par la Guadeloupe, la Martinique, la France et la Guadeloupe pour revenir au pays en Novembre 1974. Leur passage en France, au mois de septembre, a été un immense succès provoqué par la chanson « Ti Carole », en tête du hit parade sur « Radio Télévision France Inter » pendant six mois. De retour au pays en Novembre 1974, le groupe élut domicile à « Cabane Choucoune » jusqu’à sa dissolution en 1979 avec le départ pour les États Unis de son fondateur, Wagner Lalane.

En 1980, environ un quart de siècle après le lancement de sa grande carrière, Nemours s’est retrouvé en musicien solitaire. Heureusement, Eddy Zamor, animateur de radio et présentateur durant les années 60 en Haïti, devenu promoteur de musique aux États-Unis, a pu venir à sa rescousse. Il sponsorisa une soirée de vingt-cinq ans d’anniversaire du compas et l’évènement a été célébré en grande pompe de concert avec le Skah Shah au club « Olympia Palace », New York. Cette soirée a été, en quelque sorte, un hommage couronnant la grande carrière de Nemours Jean-Baptiste. Sa prochaine tentative de jouer aux Etats-Unis en 1981, cette fois-ci accompagné de son rival musical de longue date, Webert Sicot, devait avorter. Nemours est tombé gravement malade et subit une intervention chirurgicale à New York (« Elmhurst Hospital », Queens). Il passera les quatre dernières années de sa vie en Haïti, luttant contre le cancer de la prostate et la cécité. En dépit de l’insistance de sa femme et enfants, il a préféré mourir dans son pays disant qu’à sa mort on reconnaîtra sa valeur.

Nemours et le Compact Direct

Jusqu’à la moitié du 20ième siècle, les besoins du public haïtien en animation musicale avaient été principalement satisfaits par les troubadours, et la cadence « tipico » venue de la République voisine et de Cuba. Cette cadence et/ou les groupes espagnols dominaient la majeure partie de nos festivités publiques ou/et privées. Les débuts de Nemours ont été marqués par cette cadence qui lui a permis de gagner le cœur du public. Cependant, Nemours n’a jamais apprécié cette colonisation du marché musical haïtien. Du côté haïtien de la frontière, le Dominicain et le Cubain vivaient de leur musique, de l’autre côté nos frères étaient humiliés par ces mêmes gens.

Inspiré en quelque sorte par ce nationalisme et aidé de son génie, Nemours a donné aux haïtiens leur propre cadence : le compas. Après le lancement de sa carrière, il ne s’était pas arrêté à l’apprentissage du banjo, il a su maîtriser le saxophone et la guitare.

Une autre facette attrayante du personnage Nemours a été sa verve prompte et légère. À l’apogée de sa carrière, il choyait son public régulièrement avec une nouvelle composition. Tous les samedis, ses fanatiques l’attendaient au Rex Théâtre et ils n’étaient jamais déçus ni par le fond ni par la forme. Les femmes haïtiennes, régulièrement l’objet de satyre de nos musiciens, étaient les chouchous de Nemours. En témoignent, les tubes « aprann renmen », « ròb antrav », « Solange » pour ne citer que cela. Quant au compas, son enfant chéri qu’il a mis au jour, il n’avait jamais cessé de prédire sa réussite et longévité. Des tubes comme : « Universal compas », « Vivre Compas », « La joie de vivre » en sont la preuve. Pour Nemours, la clé de ce succès ou cette longévité a été de garder la cadence aussi simple que possible.

Joueur de banjo, guitariste, saxophoniste, compositeur et chef d’orchestre, Nemours Jean-Baptiste, a été un artiste complet. Il a été pour la musique haïtienne ce que furent les Pères de la Patrie pour Haïti. A sa mort le 18 Mai 1985, il a légué un riche héritage au marché musical haïtien. Les premières bases posées par Nemours constituent une source inépuisable qui a inspiré et continue à guider les jeunes générations. Aujourd’hui encore, un demi-siècle siècle après la création du compas, le public haïtien ne s’est jamais lassé de danser et la musique de Nemours et le compas.

Biographie Master Dji


George Lys Herard (30 Mai, 1961—21 Mai, 1994), connu à priori sous le nom populaire de Master Dji, était l’un des premiers rappeurs et artistes Hip-Hop en Haïti. Dj du groupe “Haiti Rap’ N Ragga”, Master Dji est considéré comme le père du rap/hip-hop créole.
La première chanson rap créole de Master Dji (1982) fut intitulée « Vakans ». Quelques années plus tard (fin des années 80) il sorti son premier album « Master Dji ».
Master Dji se fit une renommé dès le début de sa carrière artistique suite à la sortie de son album « Master Dji », qui pour beaucoup demeure l’un des meilleurs albums Hip-Hop créole de tous les temps. A travers cet album, Master Dji s’imposa comme l’un des artistes haïtiens aux textes les plus profonds, introduisant sa signature qui se voulait poétique.
Master Dji était également un animateur à la Radio Métropole et à Tropic FM. Pionnier de l’industrie de la musique haïtienne, il créa un genre musical jamais entendu auparavant. Grâce à ses œuvres musicales, la génération de son époque put hériter d’un nouveau style de musique brisant les frontières entre le rara, rasin, konpa et reggae, les genres musicaux les plus à la mode à l’époque. Master Dji maitrisait ainsi « l’art de parler aux jeunes », et à travers ses musiques, il profitait à chaque occasion de les éduquer.
Le Hip-Hop n’était guère populaire à l’époque, qui plus est, la société en avait une mauvaise perception. Quoi qu’il en soit, Master Dji arriva à faire jouer ces tubes par certaines stations de radio. Il était versatile ; qu’il s’agisse du Français, de l’Anglais ou du Créole, il s’arrangeait toujours pour faire « flamber » son micro. La maîtrise de ces trois langues lui permit d’atteindre des publics de différentes couches sociales. Pas étonnant que la renommé de Master Dji fit son parcours à l’extérieur du pays. En fait, il fut l’un des rares MC dont les morceaux furent joués plus de 12 heures sur des stations de radio africaine.

Biographie Languichatte


Theodore Beaubrun (1918-1998) - comédien et acteur haïtien.
Theodore Beaubrun was one of the best Haitian comedians that ever lived. Théodore Beaubrun est l'un des meilleurs humoristes haïtiens de tous les temps.
Theodore Beaubrun was the head of the National Theatre in Haiti Theodore Beaubrun était à la tête du Théâtre National d'Haïti
Theodore Beaubrun was the Haitian George Jefferson. Theodore Beaubrun était haïtien George Jefferson.
Theodore Beaubrun was known by his character name "Languichatte Debordus". Theodore Beaubrun était connu par son nom de "Languichatte Debordus".
His sitcom Languichatte Au 20eme Sciecle (Languichatte inthe 20th Century) was the only source of Haitian laughter for an entire generation. Son sitcom Languichatte Au 20eme Sciecle (Languichatte dans le 20e siècle) a été la seule source de rires haïtien pour toute une génération.
Below - As posted in a New York Times Article: Ci-dessous - Comme posté dans un article du New York Times:
"In a career that spanned more than 40 years, Mr. Beaubrun delighted generations of Haitians with his sardonic comedy on radio, television and in films. "Dans une carrière de plus de 40 ans, M. Beaubrun ravi des générations d'Haïtiens avec son humour sardonique à la radio, la télévision et au cinéma.
His comedy transcended class and color differences. Son humour transcende les différences de couleur et de classe.
He also was able to retain his popularity under the various governments that came to power i